Légendes Mystiques - Chapitre 1

          Nous sommes des vampires...

          Je suis une vampire. Moi, Aloysia Swan, je ne suis pas, je n'étais pas tout à fait une vampire. Mon père est l'Archange Raphaël, ma mère une vampire. Officiellement, j'étais une immortelle, j'étais destinée à sauvegarder la paix dans le monde en tant que simple ange. Mais une personne en a décidé autrement, d'où le fait que je sois maintenant une vampire.

          J'ai eu une enfance très heureuse. Certes mon père je le voyais rarement, il était très occupé à régler les conflits, petits ou grands, qu'il y avaient. Ma mère, buvait du sang humain au moindre manque. Moi, j'étais « végétarienne », je buvais du sang animal. Je suis fille unique, et je m'en porte pas plus mal. J'allais à l'école comme tout le monde, bien que beaucoup de mes camarades me trouvait différente, ils ne voyaient pas que j'étais inhumaine. Pour moi,c'était un sacré avantage. Beaucoup se demandaient pourquoi ni ma mère, ni mon père, ne venaient me chercher à l'école. Je leur répondait que ma mère ne pouvait pas marché car elle avait des problèmes aux jambes, et que, mon père nous avait abandonné moi et ma mère. Choses totalement fausses, mais qui satisfaisait leur curiosité. A l'école, je n'avais pas beaucoup d'amis – filles ou garçons – car je les trouvaient un peu... ennuyant. Ils pensaient tous à se courir après, jouer à cache-cache... Moi je préférais largement m'amusais à les regarder se courir après, en pensant à les croquer à pleine dents et me nourrir de leur sang. C'était beaucoup plus amusant. Cependant, lorsque j'étais bébé, ma mère a essayé de me faire boire du sang humain, j'ai tout vomi. Et plus elle essayait de m'en faire boire, plus j'en recraché. Allez savoir pourquoi je ne pouvais pas digérer le sang humain, qui est pourtant plus nourrissant que celui des animaux. Peut-être par le fait que mon père soit Archange, fait que je ne peux boire du sang humain. Et puis, j'ai passé les différentes étapes de la maternelle et du primaire pour arriver au collège. Jusque là j'ai vécu ma vie « normalement », mis à part que je buvais du sang animal.

          Ici, au collège, je me suis fait des amis, mais aussi des ennemis. Deux de ces personnes font partie de mes meilleures alliées, mais surtout de mes meilleures amies. Je ne peux plus m'en séparer, même pour une minute. Ces deux personnes, m'ont accompagné dans toutes les situations, difficiles ou pas. Ces deux personnes se prénomment Mina Orihime et Rosalie Kuchiki. Mina a été la première à venir me voir, à apprendre à me connaître. Rosalie, elle, a été plus longue à se dévoiler. Ces deux filles, humaines, ne se doutait en aucun point du danger qu'elles avaient à me fréquenter. Mais, le pire, n'était pas moi. C'était une autre fille, qu'elles connaissaient depuis le primaire. Rosalie la connaissaient depuis le CP, Mina, depuis le CM1. Cette fille, elle s'appelait Esmée Holmwood. Elle, au premier regard je l'ai détesté. De plus, elle sentait le vampire à plein nez. Certes ma mère était une vampire, mais je ne la détestait pas car elle n'abusait pas de ses pouvoirs, que elle, s'en servait au moindre « trucs » qui la dérangeait. Sur le coup, je me suis demandée comment elle avait fait pour ne pas craquer avec deux proies en permanence à ses côtés. Esmée, elle, a de suite su qui j'étais. De suite, elle m'a détesté. Au moins,sur ce point là on était quittes. Ces trois filles – Mina,Rosalie et Esmée – avait une tendance gothique. Autant pour Esmée c'était plus ou moins normal – selon les points de vues de chacun – autant pour les deux autres j'en ai déduis qu'elles ont été influencé.

          Au bout de quelques jours, on pouvait nettement voir qui s'imposait dans le trio. Mais pour ça on n'avait pas besoin de rester quelques jours avec elles pour le voir. C'était Esmée. Cette petite garce faisait faire ce qu'elle voulait à Mina et Rosalie. Peu m'importait. J'avais, jusque là, était une solitaire. Même si je restais avec elles, je n'en avais rien à faire de leur conversations et de leurs pensées. La seule chose qui avait le don de m'énerver, c'est le fait que, Esmée essayait de m'y contraindre, moi aussi. Seul soucis : j'étais une immortelle croisée entre un Archange et un vampire. Un Archange, étant plus haut placé qu'un vampire, avait donc plus de pouvoir sur lui. Elle pouvait toujours essayer de m'y contraindre, mais elle s'épuisait pour rien. Elle savait peut-être que j'étais différentes des autres, mais elle ne savait peut-être pas que j'étais croisée entre un Archange et un vampire...

          A cette époque – 1737 – aucune lois n'interdisait le meurtre. Si j'avais été totalement Archange, je l'aurais tué à la première vue. Je la voyais au fur et à mesure du temps qui passait, continuer à profiter des deux filles. Je ne les connaissaient pas plus que ça, mais je ne pu m'empêcher de vouloir les défendre sans qu'elles le sachent contre cette... créature. Je ne pouvais pas appeler ça une fille, car une fille aurait plus de sympathie, et n'aurait pas le pouvoir de leur faire faire ce qu'elle voulait.

          Le reste de l'année s'était bien passé jusqu'au jour où, je surpris Esmée en pleine chasse dans la forêt qui entourait le collège. Elle était en train de s'en prendre à un élève arrivé depuis peu – peut être quinze jours. La colère m'emporta. Je pris Esmée au niveau du cou et la plaque contre un arbre. Ces mots m'était venu instinctivement :

   « Comment ose-tu t'en prendre à un pauvre innocent ?

 - Désolé mais il était tellement tentant,en plus sa chair était vraiment très fraîche et son sang aussi. Je n'ai pas p...

 - TU VAS ARRETER CA DE SUITE, SINON LE BUCHER T'ATTENDRA AVEC UNE IMPATIENCE HORS DU COMMUN !!!

 - Tu crois que tu me fait peur ?

 - Je te fais peut être pas peur, mais mon pouvoir est bien plus supérieur au tien. »

          Sur ces mots la conversation s'arrêta. La victime avait eu le temps de s'enfuir, mais j'avais pressenti quelque chose qui me disait que tout n'allait pas se passer comme prévu...

Ca y est !!! 1er chapitre de publié. Jespère qu'il vous a plu et que vous avez passez un bon moment, que vous avez pris plaisir à le lire. Vous en dites quoi de celui-ci ?